A Raqqa, il abat sa propre mère d'une balle dans la tête parce qu'elle voulait le sauver des griffes de Daech
Modifié : 10 janvier 2016 à 19h22
Avec Daech, La course à l'horreur n'a pas de limite. Récemment, dans le fief du groupe terroriste Daesh, à Raqqa en Syrie, un djihadiste syrien de 20 ans a exécuté en public sa propre mère. Son crime, vouloir convaincre son fils d'abandonner l'organisation terroriste
La mère, prénommée Lina, une postière de 40 ans, a parcouru les 50 km reliant Tabaqa, où elle habite, à Raqqa, capitale de fait de Daesh, pour implorer son fils, Ali Saqr, de la suivre en lui exprimant ses craintes qu'il risquait, à tout moment la mort dans des bombardements de la ville par la coalition menée par les occidentaux
Le jeune homme, n'a pas trouvé meilleure réponse à sa mère que de l'a balancée à ses supérieurs. Ces derniers ont vite arrêté la mère pour « apostasie ».
Comble de l'horreur et de la barbarie, c'est l'enfant qui a été chargé d'exécuter la sentence. Ali saqr a abattu sa propre mère d'une balle dans la tête devant une centaine de personnes rassemblées sur une place de Raqqa face à la Poste.
Selon certaines sources, on peut recenser une cinquantaine de « crimes » punis par la mort chez Daesh : comme l'adultère, l'homosexualité, la zoophilie et le fait pour un djihadiste « d'exposer ses parties génitales ». « Trahir des musulmans », critiquer un sermon religieux, travailler avec la coalition, couper des routes et... capturer et torturer un militant anti-Daesh ou un adversaire armé sans autorisation des autorités djihadistes, figurent aussi parmi la liste des actions considérées comme un crime par Daesh.
La mère, prénommée Lina, une postière de 40 ans, a parcouru les 50 km reliant Tabaqa, où elle habite, à Raqqa, capitale de fait de Daesh, pour implorer son fils, Ali Saqr, de la suivre en lui exprimant ses craintes qu'il risquait, à tout moment la mort dans des bombardements de la ville par la coalition menée par les occidentaux
Le jeune homme, n'a pas trouvé meilleure réponse à sa mère que de l'a balancée à ses supérieurs. Ces derniers ont vite arrêté la mère pour « apostasie ».
Comble de l'horreur et de la barbarie, c'est l'enfant qui a été chargé d'exécuter la sentence. Ali saqr a abattu sa propre mère d'une balle dans la tête devant une centaine de personnes rassemblées sur une place de Raqqa face à la Poste.
Selon certaines sources, on peut recenser une cinquantaine de « crimes » punis par la mort chez Daesh : comme l'adultère, l'homosexualité, la zoophilie et le fait pour un djihadiste « d'exposer ses parties génitales ». « Trahir des musulmans », critiquer un sermon religieux, travailler avec la coalition, couper des routes et... capturer et torturer un militant anti-Daesh ou un adversaire armé sans autorisation des autorités djihadistes, figurent aussi parmi la liste des actions considérées comme un crime par Daesh.