Neymar en compagnie d'Anita au Carnaval de Rio
6 mars 2019 à 12h23
Rentré sur Paris, Neymar a profité de quelques jours au Brésil pour se rendre au carnaval de Rio.
S'il est rentré sur Paris afin d'assister au match opposant son équipe, le PSG, à Manchester United pour le huitième de finale retour de Champion's League, le brésilien a toutefois profité de quelques jours de vacances au Brésil. Pour l'occasion, il lui était impossible de rater le fameux Carnaval de Rio. La star Auriverde était accompagnée d'une jeune femme, nommée Anita. Chanteuse, danseuse, actrice, mannequin, la jeune femme est une touche-à-tout. Cependant, il semble compliqué à ce jour de savoir s'il se passe réellement quelque chose entre eux ou non. Que les fans parisiens se rassurent : le Ney n'a pas forcé sur son pied, faisant bien attention à ne pas aggraver sa blessure. Heureusement, puisque le club parisien risque d'avoir bien besoin de ses services pour les prochains matchs !
Le footballeur brésilien s'est confié, revenant sur sa blessure et les déclarations de l'entraîneur du RC Strasbourg et de Gonçalves, le joueur qui l'a blessé. "De quel droit le gars se permet de dire ces conneries après le match?, s’était-il offusqué. On ne peut pas donner de la crédibilité à ce genre de personne, poursuit l’ancien Barcelonais. Il commence à parler de ça et personne ne peut être d’accord avec ce qu’il dit. Il faut lui parler: 'Mon ami, tu as tort, tu as tort'. Mais c’est dans la tête d’une personne, une toute petite tête, et je ne peux pas discuter avec des personnes qui pensent de cette manière. Le football que j’aime est fait de dribbles, de buts, pas de coups."
Le footballeur brésilien s'est confié, revenant sur sa blessure et les déclarations de l'entraîneur du RC Strasbourg et de Gonçalves, le joueur qui l'a blessé. "De quel droit le gars se permet de dire ces conneries après le match?, s’était-il offusqué. On ne peut pas donner de la crédibilité à ce genre de personne, poursuit l’ancien Barcelonais. Il commence à parler de ça et personne ne peut être d’accord avec ce qu’il dit. Il faut lui parler: 'Mon ami, tu as tort, tu as tort'. Mais c’est dans la tête d’une personne, une toute petite tête, et je ne peux pas discuter avec des personnes qui pensent de cette manière. Le football que j’aime est fait de dribbles, de buts, pas de coups."