AmazonPrime : après 50 nuances de Grey et After, un nouveau film young adult ! (BANDE ANNONCE)

Depuis l'énorme succès de la saga 50 nuances de Grey, les romances sexy ont le vent en poupe. Parmi les films qui ont suivi cette tendance, on peut citer l'infâme 365 jours et la ténébreuse After. Aujourd'hui, une nouvelle romance torride fait son entrée sur le marché : Joli Désastre. Le film met en vedette Dylan Sprouse, star de la série Riverdale. Dans ce long-métrage très hot, il incarne le rôle de Travis, un bourreau des cœurs qui tombe amoureux de la trop sage Abby.

Le marketing du film s'appuie en grande partie sur l'attrait que suscite Dylan Sprouse. Le jeune acteur, qui avait connu le succès dans sa jeunesse avec la série télévisée La Vie de palace de Zack et Cody, avait fait une pause dans sa carrière pour se consacrer à ses études. Il revient aujourd'hui sur le devant de la scène avec Joli Désastre. Dans le film, il montre une facette inédite de sa personnalité en interprétant un bad boy au grand cœur.

Joli Désastre suit la tradition des œuvres softcore, c'est-à-dire des films qui présentent du sexe de manière pudique, instaurée par 50 Nuances de Grey. Cependant, le film se rapproche plus de son aîné After, dans la mesure où il s'adresse à un public young adult. Les scènes érotiques y sont moins explicites que dans 50 nuances de Grey, mais elles sont suffisamment suggestives pour éveiller l'imagination des spectateurs.

Le film ne se contente pas de représenter une sexualité débridée. Il aborde également le thème des sentiments amoureux. En effet, Travis et Abby font un pari fou : si le dragueur invétéré perd, il doit s'abstenir de relations sexuelles pendant un mois. Si l'ingénue sexy perd, elle doit vivre avec Travis pendant un mois. Ce pari permet de mettre en avant la tension sexuelle qui existe entre les deux personnages, mais aussi de montrer que derrière leur attitude de façade, ils sont tous les deux en quête d'amour.

Le film évite les écueils dans lesquels sont tombés certains de ses prédécesseurs. Ainsi, contrairement à 365 jours, il ne fait pas l'apologie du viol et de l'objectification de la femme. De même, il ne se contente pas de montrer des scènes érotiques sans intérêt, mais donne une place importante aux sentiments des personnages.