Divorce d'Achraf Hakimi et Hiba Abouk : la rumeur qui secoue les réseaux sociaux et la vérité sur la stratégie de priver sa future ex-femme de ses biens

C'est en tout cas la rumeur qui circule actuellement sur les réseaux sociaux. Selon un compte Twitter peu fiable intitulé "News 24/7", le joueur du PSG aurait mis tous ses biens au nom de sa mère pour ne rien perdre lors du divorce à venir. Cette rumeur a rapidement enflammé les supporters marocains qui ont salué la supposée astuce du joueur, mais est-ce vraiment vrai ?

Gilles Verdez, ancien journaliste sportif sur RTL et Le Parisien, a démenti ces allégations lors d'un récent épisode de l'émission TPMP. Il a qualifié cette rumeur de "fake news" et a expliqué que ce média ivoirien était connu pour propager des informations erronées. Il a également précisé que cette tactique ne serait pas possible en Espagne, au Maroc, ni en France. En effet, en Europe, les lois régissent les mariages et les divorces, ce qui rend impossible de faire n'importe quoi en matière de propriété et de partage des biens.

Il est important de noter que même si cette rumeur s'avérait être vraie, cela ne signifierait pas qu'Hakimi serait exempté de payer sa part à sa future ex-femme. Benjamin Castaldi, qui n'est pas un professionnel du football mais un expert du divorce, a expliqué que chaque partie avait son propre patrimoine, mais que tout ce qui avait été acquis ensemble serait partagé. De plus, si l'un des conjoints avait un train de vie plus élevé que l'autre, le juge pourrait ordonner une prestation compensatoire, obligeant ainsi l'autre partie à verser une somme mensuelle pendant quelques années pour maintenir un certain niveau de vie.

En fin de compte, il est peu probable qu'Achraf Hakimi soit en train de mettre tous ses biens au nom de sa mère pour priver Hiba Abouk de quoi que ce soit. Même si cela était vrai, la loi ne lui permettrait pas d'échapper à ses obligations envers sa future ex-femme. Il est important de ne pas se fier aux rumeurs et de laisser la justice faire son travail.