Ferrari impose des limites à Justin Bieber et Kim Kardashian pour des achats futurs

Quand on est une star comme Justin Bieber ou Kim Kardashian, tout semble accessible. Cependant, même les célébrités doivent suivre des règles, en particulier celles imposées par des marques prestigieuses comme Ferrari. Récemment, il a été révélé que ces deux icônes ne pourraient pas acquérir certains modèles de la marque au cheval cabré, suite à des manquements aux exigences de Ferrari.

En 2011, Kim Kardashian a reçu une Ferrari en cadeau de mariage d'un homme d'affaires malaisien. Plus tard, il s'est avéré que ce généreux donateur était impliqué dans des affaires de fraude financière. Ferrari, qui valorise l'état impeccable de ses voitures et l'image de marque qu'elles représentent, n'a pas apprécié la manière dont Kim a traité le véhicule.

De son côté, Justin Bieber, qui raffole des voitures de sport, a aussi dépassé les bornes selon Ferrari. Après l'achat d'une Ferrari 458 Italia, le chanteur l'a rapidement personnalisée avec un revêtement bleu vif, en contradiction avec les conditions de la marque qui exigent que les modifications soient faites avec prudence et, de préférence, par des canaux approuvés.

Ferrari précise que ses propriétaires doivent représenter l'image de la marque et se comporter avec un certain niveau de décorum. Ce n'est pas seulement conduire une voiture rapide, c'est rejoindre un club exclusif avec ses propres règles. Certains modèles spéciaux doivent même être approuvés par la société elle-même avant achat.

Malgré les rumeurs, il est important de noter que Bieber et Kardashian ne sont pas complètement bannis de l'achat de Ferrari, mais des restrictions s'appliquent à certains modèles spéciaux. Ferrari a le droit de décider qui peut acquérir ses éditions limitées, cherchant ainsi à préserver son image de luxe, de performance et d'exclusivité.

Cette situation souligne que même les véhicules de luxe ont des règles à suivre et que même les stars doivent les respecter. Ferrari n'a pas encore fait de commentaire supplémentaire sur cette affaire.