L'affaire Hilona/Julien Bert : les aveux choquants du candidat

L'affaire Hilona/Julien Bert connaît un nouveau rebondissement. Après les accusations de violence conjugale portées par Hilona à l'encontre de son ex-compagnon, Julien Bert avait dans un premier temps nié les faits qui lui étaient reprochés. Cependant, la jeune femme avait ensuite sorti des preuves sonores accablantes contre lui. Le 8 mars, Julien Bert a pris la parole sur TikTok dans une longue vidéo pour annoncer qu'il avait porté plainte contre Hilona et tenter de récupérer Mélanie Dedigama.

Dans sa vidéo, Julien Bert a admis avoir commis des erreurs. Il a déclaré : "Je suis effectivement coupable de beaucoup de choses. Non pas forcément de tout ce dont on m'accuse, mais en tout cas de ne pas avoir été l'homme que je pensais ou que j'aurais voulu être à l'heure d'aujourd'hui. J'ai menti à ma famille pour ne pas les inquiéter, j'ai menti à mes amis par honte du jugement. J'ai menti à mes associés pour ne pas les effrayer. J'ai menti à des personnes pour qui j'aurais TOUT donné... par peur de les perdre".

Le candidat a également affirmé qu'il ne reprochait pas à Hilona d'avoir parlé, mais plutôt la façon dont elle avait choisi de s'exprimer. "Je m'en veux de ne pas avoir su être présent pour l'aider, la soutenir et lui répondre lorsque j'en avais encore la possibilité", a-t-il ajouté.

Julien Bert a ensuite révélé qu'il avait porté plainte pour "certaines manipulations qui avaient pour unique but de me détruire". Il a également présenté ses excuses à toutes les personnes qu'il avait déçues et à Hilona pour lui avoir menti sur un point important : "À savoir, lui promettre qu'on se retrouverait un jour et que je ne ressentirais plus jamais ça pour quelqu'un d'autre. Parce que, là encore, je me suis menti à moi-même".

Cependant, ces excuses n'ont pas suffi à convaincre les internautes qui se sont violemment exprimés contre Julien Bert sur les réseaux sociaux. Certains l'ont accusé de ne pas s'excuser pour ses actes de violence et de manipulation, tandis que d'autres ont critiqué le timing de sa vidéo, publiée le jour de la Journée Internationale des Droits des Femmes.