Laura Lempika : l'influenceuse « harcelée » sur les réseaux ? Elle brise le silence

Laura Lempika, révélée au grand public en 2017 par l'émission Secret Story, navigue depuis lors dans les eaux tumultueuses des réseaux sociaux. Victime de critiques incessantes sur son apparence physique, la jeune maman de Zlatan n'hésite pas à prendre à la légère les railleries de ses détracteurs, parfois même à en rire aux côtés de sa comparse Jessica Thivenin-Garcia. Cependant, derrière cette façade d'insouciance, la candidate de télé-réalité révèle une réalité plus sombre dans une récente déclaration.

La légèreté face aux haters

Laura Lempika et Jessica Thivenin-Garcia ont récemment décidé de tourner en dérision les critiques esthétiques dont elles font l'objet. Évoquant un "resto de sœurs Bogdanoff", les deux femmes exposent ainsi un front uni contre la virulence des commentaires en ligne. « N’empêche, ça nous va presque bien, je suis à deux doigts d’y retourner », lance Laura, affichant une apparente indifférence.

Pourtant, derrière le masque de l'indifférence, Laura Lempika semble ressentir les effets corrosifs des critiques répétées. Dans une story Instagram du 4 octobre, elle expose son ressenti face à l'état actuel des réseaux sociaux : « Les réseaux sociaux à l’heure actuelle sont très hard ! Je trouve qu’il y a beaucoup de méchanceté et de jugement […] En ce moment, c’est de pire en pire ».

Des limites dépassées

Laura dénonce un climat où tout est sujet à critique, où la haine se déchaîne sans retenue. « Il n’y a plus de limites à la critique, physique, enfants, tout est critiquable à outrance, avec haine. Il n’y a pas de retenue ni de limites dans la violence de certains propos, et certains trouvent cela complètement normal parce que ce sont les réseaux ! Ben moi, je ne suis pas d’accord avec ça », souligne-t-elle avec fermeté.

Consciente de l'œil vigilant de ses détracteurs, Laura Lempika avertit qu'elle ne se laissera pas dicter sa vie par la pression sociale en postant une photo de son fils avec la sucette du matin : « Et oui, il a encore la sucette à la bouche, c’est le matin ! Et je fais ce que je veux ». Un cri d'indépendance face à une toile parfois impitoyable.