Éborgné après un raid aérien, un nourrisson Syrien devient un véritable symbole sur les réseaux sociaux.
Publié : 26 décembre 2017 à 21h13 par La rédaction
Le petit Karim est devenue le symbole de la guerre en Syrie.
Il s'appelle Karim, est tout jeune, mais est déjà au centre de toutes les attentions. En effet, la photo de ce bébé syrien, devenu borgne après un raid du régime syrien, est très vite devenue virale sur les réseaux sociaux. De nombreux internautes et politiques ont d'ailleurs décidé de rendre hommage au petit garçon en partageant un selfie sur lequel nous pouvons les voir se cacher un oeil à l'aide de leur main. Massivement relayé, le hashtag #SolidarityWithKarim est en train de provoquer un véritable raz de marée puisque même à l'ONU, on suit le mouvement.
« Nous mettons en garde contre l’inaction qui fait que plus de gens vont mourir. Plus d’écoles vont être bombardées. Plus d’enfants seront blessés », a notamment déclaré l’ambassadeur de Grande-Bretagne à l'ONU, Matthew Rycroft, avant de conclure « Il faut que le bombardement et le siège de la Ghouta orientale prennent fin ». Pour information, cette région du pays est bombardée depuis 2013.
When we sit around the #UNSC & warn that inaction will mean more people are going to die. More schools bombed. More children scarred. This is what we mean.
— Matthew Rycroft (@MatthewRycroft1) 19 décembre 2017
We must see an end to the bombardment & siege of #EasternGhouta.#SolidarityWithKarim pic.twitter.com/8Io85VlDdF
The team of @BILD joined the campaign #solidarityWithKarim that’s started by activists to stand with Karim a syrian child 2 month-old, lost his eye & broke the skull of his head & lost his mother when they came under artillery bombardment of the Assad regime on the #EasterGhouta. pic.twitter.com/cM1k8Gex2Z
— Abdalaziz Alhamza (@3z0ooz) 20 décembre 2017
The team of @BILD joined the campaign #solidarityWithKarim that’s started by activists to stand with Karim a syrian child 2 month-old, lost his eye & broke the skull of his head & lost his mother when they came under artillery bombardment of the Assad regime on the #EasterGhouta. pic.twitter.com/cM1k8Gex2Z
— Abdalaziz Alhamza (@3z0ooz) 20 décembre 2017