Fail : un conseiller de Trump poste une photo sur Twitter et dévoile des projets top secrets ! (Photos)
6 mai 2017 à 10h53
Ce n'est pas la première fois que l'administration Trump fait une grosse bourde.
Steve Bannon, conseiller du Donald Trump, risque de se faire taper sur les doigts. En effet, plusieurs photos de lui se sont retrouvées sur le net dont certaines contenaient des informations pour le moins comprométantes. Ainsi, on peut découvrir que Bannon et donc Trump ont une véritable obsession anti-immigration : "Suspendre le programme pour les réfugiés syriens" ; "Embaucher 5 000 patrouilleurs supplémentaires aux frontières" ; "Construire le mur à la frontière et éventuellement faire payer le Mexique" ; "Couper les fonds fédéraux aux villes sanctuaires [qui protègent les sans-papiers, ndlr]"... En bref, des dizaines de projets lois visant a réduire la libertés de personnes immigrés ont étédévoilé au public.
With @SteveBannon in the White House on #israelindependenceday. Steve is a great, stalwart friend of the Jewish State pic.twitter.com/PFxSCK7blc
— Rabbi Shmuley (@RabbiShmuley) 2 mai 2017
Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que l'administration Trump laisse sortir des information secrètes. En effet, au mois de Novembre dernier le secrétaire d’État du Texas Kris Kobach rendait visite à Donald Trump. Sur le péron, les photographes ont immortalisé la scène avant de se rendre compte qu'un des dossiers de Kobach était ouvert. Après avoir zoomé, les journalsites se sont rendus finalement aperçus que celui-ci allait proposer à Trump, la création d'un grand fichier regroupant les noms et prénoms de tous lesmusulmans présents sur le sol américain.
Kris Kobach accidentally leaves his folder open, revealing his terrifying vision for America https://t.co/eF9ftLMb7v pic.twitter.com/Yy09vHEG5i
— Mashable News (@MashableNews) 21 novembre 2016
Quelques jours plus tard, l'administration Trump a décidé d'envoyer un mémo a tous ses collaborateurs, présentant les dangers potentiels auxquels le gouvernement s'exposait en cas de fuite d'information. Trois jours après cet envoi, ce mémo a lui aussi fuité et s'est retrouvé dans la boite mail d'un journaliste du Washington Post. Passoire !