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Mohamed Henni : il révèle ses ambitions ! (vidéo)

10 janvier 2019 à 15h11

URBAN HIT

Le fan numéro 1 de l'OM a accepté de raconter sa méthode.

Fan de sport, notamment de football, difficile de passer outre Mohammed Henni. En effet, l'homme, grand supporteur de l'Olympique de Marseille, est un adepte des réseaux sociaux. Snap, YouTube, ce dernier n'hésite pas à dire tout fort ce que tout le monde pense généralement tout bas. Une attitude qui lui vaut d'être relativement suivi. 

Récemment interrogé par RMC, ce dernier a accepté de se livrer en toute franchise sur son personnage et ses ambitions. Un bac S en poche, celui qui a d'ores et déjà détruit 22 télévisions, réuni chaque fois des centaines de milliers de personnes ! Toutefois, cela n'est pas assez. En effet, il souhaite passer à la vitesse supérieure, aller plus loin encore. 

L'idée ? Que son avis footballistique soit reconnu par ses pairs, qu'il ne soit plus vu comme un « fou qui fait des vidéos ». « Mon but, c’est que mon avis footballistique soit vu et reconnu. Après, comment et sur quelle plateforme ? Je ne sais pas encore. Peut-être via un poste de chroniqueur à la télévision… ».



Et pourquoi pas après tout ? Toutefois, il faudrait largement changer de méthode de travail. En effet, s'il souhaite passer à l'étape supérieure, Mohammed Henni va devoir s'y mettre car, comme il le dit lui-même, il ne prépare absolument rien. « J'allume la caméra et j'envoie ». L'objectif ? Faire ressortir et ressentir de l'émotion aux gens. Bon, il va également falloir penser à stopper de détruire toutes ses télés. 22 depuis le début pour près de 10,000 euros de dégâts. Imaginez-le, retourner tout un plateau après que Marseille ait perdu contre Andrézieux...

Cependant, s'il n'est pas encore dans la cour des grands, comme il le dit lui-même, son avis semble compter. « On m’a reproché de faire couler des joueurs et de leur mettre trop de pression. Mais j’en ai rien à foutre ». Un avis bien tranché de la part de celui qui, comme beaucoup, a ses cibles fétiches. Attention toutefois, s'il critique et caricature, c'est toujours avec le même ton. « Je ne fais aucune incitation à la haine. »