Poupette Kenza accusée de maltraitance et de pédopornographie !

L'influenceuse star de Snapchat, Poupette Kenza, continue de susciter des controverses sur la toile. Après avoir été accusée de maltraitance envers ses enfants, notamment par le rappeur Booba, c'est sa présence au festival de Cannes qui a déclenché une vague de moqueries et de critiques. Les internautes déplorent l'arrivée massive des influenceurs sur les marches du Palais des Congrès, remettant en question leur légitimité. Les commentaires fusent, soulignant la dégradation de la valeur du festival de Cannes : « À une époque, le festival de Cannes, c'était des vraies stars. Maintenant, n'importe qui fait la montée des marches », « Le festival de Cannes a perdu tellement de sa valeur », « Elle a marché les marches en tant que quoi, je comprends pas ?! », peut-on lire sur la toile.

Poupette accusée de pédopornographie

Mais ce mois de mai, Poupette Kenza est au centre d'une polémique bien plus grave : ses enfants. Après les accusations de maltraitance, deux députés du parti Renaissance, Sarah Tanzili et Bruno Studer, ont dénoncé l'influenceuse en l'accusant de pédopornographie. Ils ont saisi le procureur de Rouen pour étudier le cas de Poupette Kenza, affirmant qu'elle aurait montré des photos de sa fille dénudée en culotte dans une position lascive sur un canapé, ainsi que des images de ses enfants prenant des bains. Ce sont des accusations très lourdes auxquelles Poupette Kenza est confrontée. Cependant, la mère de famille a immédiatement nié ces allégations.

Le lendemain, Poupette Kenza a pris la parole pour se défendre. Avec ses millions d'abonnés, l'influenceuse a assuré n'avoir jamais maltraité ses enfants et a affirmé que les accusations reposaient sur des sources non vérifiables et mensongères provenant de blogueurs. Elle se retrouve ainsi être le "bouc émissaire" de cette affaire. Dans une interview accordée à Paris-Normandie, elle a également déclaré que la justice avait déjà reconnu son innocence dans cette affaire. Cependant, l'affaire a pris une telle ampleur que la députée Sarah Tanzili a confirmé son intention de donner suite au cyberharcèlement dont elle est victime depuis son tweet. Dans un nouveau tweet, elle explique : « Depuis, la machine s'emballe. Retour sur le pourquoi du comment et les suites que je vais donner à ce cyberharcèlement ».

Il semble que cette affaire soit loin d'être terminée...